le dimanche, c'est mon jour !
Monty Python's Flying Circus
tags : évèque, curé, pape, sans-gêne
je me souviens de la grande ourse
je me souviens de la grande ourse
tag : ours blanc, ourson, mère
si madame, c'est une scoliose
si madame, c'est une scoliose
La scoliose est une déviation permanente de la colonne vertébrale, liée à une rotation des vertèbres. Elle survient surtout dans l'enfance et l'adolescence, mais peut aussi se déclarer à l'âge adulte. La scoliose est parfois la conséquence d'une maladie ou d'une malformation. ameli.fr
tags : dos nu, consultation privée, médecine à deux vitesses, décolleté dorsal, diagnostic, examen clinique, pathologies de luxe, Knock ou le Triomphe de la médecine
Jung ? quel con !
Jung ? quel con !
Après leur rupture tragique Freud et Jung s’étaient chacun focalisés sur deux aspects différents de la psyché, cependant liés et complémentaires. Freud s’intéressait au passé personnel du patient (Jung parle de la méthode réductive de la psychanalyse), pour étudier et élaborer des contenus de l’inconscient, structurés par les événements psychosexuels, tel qu’ils se révèlent dans le présent de la cure – conception renforcée par les concepts du retour du refoulé et de la compulsion de répétition. Donc, comme l’avait décrit Jung, le traitement sera basé sur la méthode réductive. De l’autre côté, avec son intérêt sur les images et les symboles de l’inconscient collectif, Jung s’était concentré sur le niveau le plus primitif chez l’être humain, ce qui cependant constitue son avenir, son devenir, en tant qu’imprégné du principe téléologique. Cette étude de Jung sera approfondi avec son travail avec les psychotiques et les schizophrènes. Pour Jung les symptômes ont souvent aussi une fonction symbolique, c’est-à-dire qu’ils sont porteurs de sens et de valeur psychiques utilisables pour la transformation future de la vie psychique du patient. En tant que tels ces symboles prennent la forme des images culturelles mais aussi spirituelles. Ceci constitue dans le traitement jungien, la méthode prospective. Il nous est possible de voir que l’inconscient personnel de Freud et l’inconscient collectif de Jung forment un tout qui pourrait servir de base à une intégration de notre compréhension de la vie psychique pour nous autres cliniciens. Pourquoi cette intégration n’a-t-elle pas pu se faire ? Est-ce que nous réunis aujourd’hui, pourrons-nous répondre à cette question ? source : cairn.info
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