wrong !
"ma vie, mon chien, ma force"
Cahiers du Cinéma Par Jean-Sébastien Chauvin
Une réflexion existentielle, à la manière d'un petit tableau accroché dans un boudoir, qui inviterait celui qui le regarde à la réflexion.
Chronic'art.com Par Jérôme Momcilovic
Ce récit malade, qui progresse comme par métastases, se déploie sur une pente toujours plus inquiète et terrifiante (le film au fond n'est pas vraiment drôle, limite sinistre), qui est bien ce qui intéresse le plus chez Dupieux, et qui l'installe un peu mieux dans la lignée Buñuel-Resnais-Lynch à laquelle sans doute il prétend.