Accueil › humour de Calais, bêtises et dentelle décalées › je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de poisson. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée des miettes de thon toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi