un front si ample
un front si ample...
que les yeux semblent des lacs de montagne, sans marées, clairs, éternels ; et au-dessus d'eux, dans les rides du front, on peut suivre à la piste les pensées qui descendent pour boire, comme des cerfs, de même que les chasseurs des highlands suivent les daims à leurs empreintes.
Melville : Moby Dick