Bretzel liquide, humour noir, propos absurdes et photos étranges

aller sur facebook ou me masturber, telle est la question

Hamlet, acte III, scène 1, William Shakespeare

la vie est une story, pleine d'éjaculations et de branleurs, postée par un idiot et ne signifiant rien.

tags : ma vie à l'EHPAD, Shake(it Britney)speare, calme tes hardeurs, mes petits secrets pour ne pas penser

Joséphine Caraballo : Comment faire Hamlet sans toucher les œufs ?
Carine Souaidi : Vous pouvez faire les 2 à mon humble avis, sauf si la polyvalence n'est pas votre truc !
Inter Brette : Carine Souaidi, je suis plutôt monotâche et les videos de petits chatons mignons ne me provoquent pas d'érection
Sarah Toussaint : Le choix est vite fait …
Inter Brette : Sarah Toussaint dans la date ?


il y a un an : s'exciter sur les véhicules à énergie fossile est un leurre mortifère
il y a trois ans : la rencontre (Passionate Discourse (dimensions of dialogue). Jan Švankmajer 1982)

faites comme chez vous (billet publié sur facebbok)

je tiens à rappeler que la consultation de cette page n'est pas (encore ?) obligatoire. je comprends que ce haut degré d'exigence morale et esthétique qui vous caractérise vous rende intolérables mes publications et motive l'expression juste et nécessaire de votre indignation sous forme de smileys vomissant (qui sont la marque même d'un esprit raffiné amoureux de la belle expression).

oserais je mentionner le fait que je ne vous ai rien demandé et que votre "droit de réponse" sur des publications personnelles m'agace ? afin de me faire disparaître définitivement de la surface de la terre, comme vous y incite votre juste courroux de croisé incarnant le bien et faisant régner la justice, l'ordre et le bon goût sur les réseaux sociaux, facebook met à votre disposition une fonctionnalité bien pratique : cliquez sur les trois petits points en haut du post qui vous indigne et choisissez "masquer Inter définitivement", ça me fera des vacances.

tout ceci me rappelle un peu quand j'habitais en centre ville au rez-de-chaussée et que de parfaits inconnus s'arrêtaient l'été avec les enfants devant ma fenêtre ouverte pour commenter mon intérieur : "t'as vu comme c'est moche ?"


il y a un an : pour un monde plus feutré