Bretzel liquide, humour noir, propos absurdes et photos étranges

l'origine du donut
Unknown, polygonal stone and upright triangular stone, Cornwall, 3000 to 2001 BC
Grosses pierres perforées dressées ; à gauche, celui connu localement sous le nom de « Menetol », de forme polygonale, percé d'un trou circulaire sculpté en son centre ; celui de droite dit « Tolven », percé de la même manière ; b) dessin montrant les contours des pierres et les perforations aux « centres ». Giedion observe que les perforations semblent avoir été façonnées par sculpture des deux côtés comme lors d'un fraisage de sorte que le centre du trou soit également le centre de la pierre. Il écrit que ces mégalithes auraient possédé des propriétés magiques de guérison et de renaissance. En tant qu'objets rituels, on pense qu'il s'agissait peut-être des premières pierres ou autels sacrificiels. Selon Neumann, le symbole féminin du dolmen et de la porte est toujours lié à la renaissance à travers le ventre de la femme, donc l'acte de passer par là signifie un voyage vers le renouveau. Giedion déclare que, de mémoire, Menetol a été utilisé pour guérir les enfants infirmes en les faisant passer à travers l'ouverture et pour guérir les boiteux en les soulevant vers le soleil à travers l'anneau de Menetol. Selon Levy, l'onction et la circumambulation de pierres monolithiques ont été pratiquées jusqu'à une époque récente. cela conduit à croire qu'ils étaient dotés d'une signification sacrée dès les temps les plus reculés, lorsque l'on pratiquait l'érection d'une pierre pour l'habitation d'un esprit, comme un lieu gardé sacré pour lui, auquel il pouvait être convoqué par des rites. Layard Cn écrit que la pierre grossièrement taillée, ou la pierre « taillée sans les mains » du rêve de Nabuchodonosor, porte en elle le sens de l'immanence de l'esprit qui remplit la terre entière comme une grande montagne. Les pierres portent en elles l'esprit. des hommes vivants qui les érigent et leur contact avec la terre les maintenait en terre sainte (Levy.)

Louis Lumière, printemps 1897 : L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat, les rushes du tournage
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