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Valls et Hamon interprètent les grands classiques de la trahison française : Bonjour ma cousine Bonjour mon cousin Benoît On m'a dit qu'vous m'souteniez Est-ce bien la vérité ?
Je m'en soucie guère
Je m'en soucie guère
Passez par ici et moi par là
Au r'voir ma cousine on se r'verra
clause Molière. Manuel, chef de chantier promu Précieuse Ridicule sermonnait les maçons : holà ! Là, là, là, là, là, là. Je pense que ces marauds-là ont dessein de me briser à force de heurter contre les murailles et les pavés.
Premier porteur : Dame ! c’est que la porte est étroite. Vous avez voulu aussi que nous soyons entrés jusqu’ici.
Mascarille : Je le crois bien. Voudriez-vous, faquins, que j’exposasse l’embonpoint de mes plumes aux inclémences de la saison pluvieuse, et que j’allasse imprimer mes souliers en boue ? Allez, ôtez votre chaise d’ici.
Pour moi, je tiens que hors de Paris il n'y a point de salut pour les honnêtes gens.
(Les Précieuses ridicules, p.109, in Oeuvres complètes, Éd. de Crémille, 1971)
Je m'voyais déjà en haut de l'affiche du 18 juin En dix fois plus gros que n'importe qui mon nom s'étalait
chanson : Charles Aznavour
le général Fillon appelant à rejoindre le Trocadéro libre : 'Je suis en péril de mort, luttons tous pour me sauver"
"Si tout a raté pour moi si je suis dans Londres
Ce n'est pas ma faute mais celle du public qui n'a rien compris
On ne m'a jamais accordé ma chance
D'autres ont réussi avec peu de voix et beaucoup d'argent
Moi j'étais trop pur ou trop en avance
Mais un jour viendra, je leur montrerai que j'ai du talent."
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